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La bonté est un vice comme les autres | Hippolyte Amory & Gaston Prévost

Lun 4 Sep - 16:10

La bonté est un vice comme les autresJe me trouvais au beau milieu d’un monde aux contours troubles, rien n’était stable, tout s’animait tout seul. Le regard embrumé, j’essayais de me repérer dans cet environnement à la fois vivant et reposant. Une maison – je ne me souvenais en tout cas pas d’avoir pris un ascenseur ou avoir grimpé quelque escalier que ce soit – assez simple vue de l’intérieur, dans un genre plutôt moderne et sans excès. Je me tenais droit en plein centre du salon, sans même comprendre où je me trouvais réellement. J’entendais un peu de bruit derrière moi, quelqu’un qui s’affairait à je ne sais quelle besogne. Mes épaules s’allégeaient soudainement, sans vraiment remarquer ce qu’il se passait vraiment. Décidant enfin à me retourner, je voyais un homme ni trop jeune ni trop vieux. Il m’était impossible de lui donner un âge tant son visage me semblait peu clair sous cette vue brouillée, tant pis je ferai sans savoir. Il portait dans ses mains mon sac à dos et le posait au sol, je préférais ne rien dire, il n’avait pas vraiment l’air d’un voleur. Mais qui était-ce ? Pourquoi je me retrouvais avec un type totalement inconnu, je ne sais où dans le monde, qui retire mon sac comme si j’étais prêt à m’installer ici ? Un violeur peut-être, ou un tueur qui prenait soin de mettre à l’aise ses victimes avant de les égorger. Un frisson me parcourait l’échine et je décidais de m’en aller d’ici, ne voulant pas risquer de finir enterré six pieds sous terre dans le jardin de cet inconnu. A peine ma jambe se soulevait pour faire un pas que je basculais, manquant de peu de me retrouver sur le sol pour faire office d’un nouveau tapis. Je n’avais aucune chance de fuir, j’en déduisais que mon heure était donc venue. Peut-être l’avais-je mérité après tout, et puis ça ferait un ivrogne de moins dans ce monde, je ne manquerais à personne en y pensant bien. Dans quelques heures je ne ferai plus partie de cette terre cruelle et perfide, et j’acceptais mon sort malgré les quelques larmes qui vinrent se poser au bord de mes paupières, me laissant encore moins facilement discerner ce qui m’entourait. J’aurai juste aimé savoir qui allait être mon bourreau, à vrai dire c’est lui qui allait disposer de moi à sa guise, peut-être allait-il me violer une fois que j’aurai quitté ce monde, peut-être même tenterai-t-il de me cuisiner. On entend tellement de choses étranges dans les médias que ça ne m’étonnerait pas de finir en petits morceaux dans une poêle, recouvert d’un peu de fines herbes. « Monsieur… Vous êtes qui ? » finissais-je par lâcher en portant mon regard vers l’homme, passant ma paume sur mes yeux pour tenter de faire la mise au point, en vain. Mais de l’agitation non loin de lui attira mon attention, un chien manifestement, ou alors deux, je n’aurai vraiment su le dire. Sans même attendre une réponse à ma question, je me précipitais en titubant vers l’animal pour lui apporter des caresses. C’est fou ce que l’alcool et un animal réunis pouvaient faire tout oublier en une fraction de seconde.© 2981 12289 0
Gaston Prévost
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Ven 8 Sep - 6:34


       
La sécurité devrait être donné à tous

Hippo' et Gaston

       
Hippolyte était ce qu’on pouvait appelé comme une personne de nature très aidante et généreuse. Très ouvert aux organismes différents de Wellington, il avait apprit à aidé depuis tout jeune : C’est ce qu’il préférait, en faite. Aidé les autres. Que ce soit en devenant baby-sitter, assistant en maternelle ou encore en voulant un jour rentrer dans le monde de la musique, c’était tous pour le même but commun : Aidé les autres. C’était une chose que son père lui avait très souvent reproché, aussi : Il ne ce défendait pas assez. Il ne ce défendait pas comme un vrai homme, il préférait aidé et tendre la main que ce défendre. Hippolyte ne pouvait nier le contraire, il était ainsi : Aider, c’était son deuxième prénom. Le jeune homme s’était ouvert plusieurs portes dans ce monde là, et faisait donc désormais partit de plusieurs organismes pour les aider. C’est pourquoi, avec son expérience, il s’y connaissait beaucoup en gens qui avait besoin d’aide. Et bien que sa bonté pourrait un jour lui retombait dessus, pour le même, il n’y craignait rien. Hippolyte était très renfermé et très peu confiant quand il s’agissait de ce confier, de sa bulle personnelle : mais dès que cela concernait la santé de quelqu’un, sa protection, d’aide une personne souffrante, alors là, Hippolyte était prêt à ramener un inconnu chez lui pour l’aidé. Tant qu’on ne lui demandait pas de s’ouvrir, d’avoir une totale confiance en quelqu’un (confiance qui avait prit des années à donner à sa meilleure amie), tout allait bien. Car Hippolyte ne pouvait jamais ce retirer ce qu’il avait vécu de ses pensées : Les gens étaient hypocrites et ce soucié peu de ce que tu ressentais vraiment. Il l’avait apprit à ses dépends. Bref, pour revenir au point central : La bonté était surement quelque chose qu’il donnait très, mais soit. Il faisait avec.

En voyant donc le jeune homme sur le sol, Hippolyte avait tout de suite comprit l’enjeu : Alcool, beaucoup trop d’alcool et peut-être sous l’effet de certaines drogues aussi. Le jeune homme n’avait, à ce qu’il avait remarqué, plus aucun lien avec le « vrai » monde. Il était complètement déconnecté, plannant là où Hippolyte ne pouvait le rejoindre. Hippolyte avait donc prit son sac, puis avait soulevé le jeune homme pour le ramener chez lui, utilisant sa voiture. Le ramené à un organisme les faisait parfois paniquer, alors qu’une maison était tout de suite plus rassurant vu que plus proche d’une réalité que tous connaissait. Il avait donc conduit jusqu’à chez lui, puis avec réussit à ramener le jeune homme jusqu’à son salon, ce qui était déjà un miracle. Déposant le sac du jeune homme dans le salon, il s’était ensuite tourner vers lui. Sa question fut, après tout, normal, et alors que Hippolyte était pour lui répondre, il vit le jeune homme s’agitait rapidement pour rejoindre… son chien. Hippolyte, qui s’était préparé à venir l’aidé, soupira de soulagement en voyant Sam jappait joyeusement en restant proche du jeune, sagement assit. Hippolyte vient se pencher aux côtés d’eux, lentement.

« Je m’appel Hippolyte. », dit-il d’une voix calme. « Je suis là pour t’aider, je ne te veux aucun mal. Ce chien, c’est Sam, mon chien. Et ici, on est chez moi, dans ma maison, en sécurité. », dit-il lentement : Il était toujours important de rappeler à quelqu’un qui perdait ses repères à cause de l’alcool qu’il était en sécurité. Hippolyte avança lentement sa main pour venir la poser sur son front. « Comment tu te sens? »

       
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Hippolyte Amory
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Dim 10 Sep - 11:58

La bonté est un vice comme les autresLe golden retriever restait assis sans rechigner, entouré de mes bras qui lui caressaient les flancs, et par-dessus tout il semblait même apprécier ça. A nos côtés vint s’accroupir l’homme qui était présent depuis tout à l’heure, mon possible bourreau. Il se présentait comme étant Hippolyte, un type qui souhaitait tout simplement m’aider et qui m’avait amené chez lui pour que nous soyons en sécurité. Aussi il en profitait pour me donner le nom de son chien, Sam. Je regardais le dénommé Hippolyte, à présent moins flou à cette distance, bien que je ne me rendais probablement pas compte des petits détails de son visage, mais qu’importe. Je devinais qu’il devait avoir une trentaine d’années environ, et il semblait actuellement calme et apaisé. Pour l’instant je n’étais pas plus serein qu’auparavant, tout tueur aurait dans son intérêt de mettre sa victime en confiance avant de passer à l’acte, cela simplifierait grandement la chose. Sa main passait soudainement devant mes yeux pour se poser sur mon front. Un léger soubresaut vint m’agiter au contact froid de sa peau, mais je le laissais faire, sans même chercher à lutter. Après quelques secondes je reprenais la parole, ou plutôt l’alcool le faisait à ma place.

« - Vous savez monsieur Hipplotyle… Hipptolyte… Hippo… Je peux vous appeler Hippo ? C’est plus simple. Comme Sam, c’est bien c’est rapide. » lançais-je en posant mon doigt sur la truffe humide de l’animal pour le désigner. « Bref… Votre discours il est glauque, c’est comme si on attendrissait un animal avant de le tuer pour que la viande soit plus tendre. Vous allez me tuer ? Parce que je vous connais pas, puis vous m’amenez chez vous, et puis il n’y a pas de témoin, rien du tout. En plus vous avez un chien qui pourrait me manger pour faire disparaître le corps. Et peut-être que vous aussi vous allez me manger ! » Alors que je manquais cruellement de confiance en ce type pour le moment, je ne me décidais pas à me reculer ou à tenter de prendre la fuite, dans tous les cas elle serait vaine vu mon état. Je restais devant lui à moitié affalé sur le sol aux côtés de Sam, en regardant l’homme d’un œil vitreux, l’air benêt, à demi inquiété par la situation dans laquelle je me trouvais, à demi trop saoul pour bien m’en rendre compte. Puis sans raison je me mis à pouffer en regardant le brun. « Hipplolyte c’est rigolo comme prénom quand même ! Mais c’est compliqué. »
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Dim 17 Sep - 7:31


       
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Hippo' et Gaston

       
Heureusement, Hippolyte était rendu avec une certaine expérience des gens bourrés comme le jeune homme semblait l’être. Pour lui, rien ne le surprenait depuis toute l’expérience qu’il avait acquise au cours de son aide dans les organismes. C’est pourquoi il savait très bien que certaines personnes pouvaient devenir très sensible, comme certaines drogues pouvaient rendre les gens encore plus paranoïaque que la normal. Eh bien qu’il y avait toujours un certain amusant de voir ces gens s’inquiété comme dans un film d’horreur, il n’y avait rien d’amusant pour eux et Hippolyte avait cessé d’en rire depuis longtemps : Les gens ivres y croyait, à cette vision, à cette paranoïa, et rien n’était drôle pour eux. Quand il disait qu’il craignait pour leur vie, c’était que, à leurs yeux, il avait de bonnes raisons de craindre. Et ça, Hippolyte avait apprit à essayer de son mieux de gérer une crise comme ça, quoique rien n’était mieux qu’une bonne nuit de sommeil pour faire dissiper les néfastes effets de la drogue. Néanmoins, vu l’état du jeune, Hippolyte imaginait bien que le ‘repose toi, tout ira mieux demain’ ne fonctionnerait pas juste comme ça. Il secoua un peu la tête, lentement, gardant un sourire calme, ce voulant rassurant.

« Bien-sûr que tu peux m’appeler Hippo. Mes parents ne m’ont pas choisit un prénom simple, je te l’accorde. », dit-il avec douceur, venant s’assoir devant son chien et le jeune homme. « Je ne te veux aucun mal. Et sincèrement, Sam n’est même pas capable d’attaquer une mouche, alors un humain… », dit doucement Hippo, riant avec douceur pour rassurer leur ami. « Quant a moi, j’aurais aucune raison de vous faire du mal. »

Hippolyte tendit les mains lentement, posant doucement un verre d’eau et des pilules qu’il était aller chercher un peu plus tôt pour le jeune homme.

« Tu devrais boire, et prendre ça, ça te ferra du bien. », dit lentement Hippolyte en fronçant les sourcils, glissant sa main sur le front du jeune homme, avant de ce lever pour aller vers la cuisine, juste a coté. Le pauvre jeune homme semblait avoir perdu tous ces repères, ça devait être horrible. Hippolyte prit une serviette propre et la passa sous l’eau froide tranquillement, secouant la tête. Il espérait que le jeune homme ne soit pas trop malade demain… Il ignorait ce qu’il avait pu prendre : Il y avait tellement de sortes de drogues… Il revient peu après dans le salon, montrant ses mains pour faire signe qu’il n’était aucunement menaçant, revenant s’assoir vers le jeune homme dont le prénom lui était encore inconnu. Posant la serviette froide sur le front du jeune homme, il lui sourit un peu, retrouvant sa place assit devant lui.

« Comment t’appels-tu? », demanda Hippolyte en venant croiser son regard avec celui du jeune homme.

       
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Jeu 28 Sep - 11:36

La bonté est un vice comme les autresAu moins il était d’accord avec moi, son prénom n’était pas le plus simple. C’est pourquoi il m’autorisait à rester sur le diminutif "Hippo", ce qui me convenait à merveille. Je le regardais s’asseoir devant le chien et moi pour me donner quelques paroles rassurantes. A ses mots, il ne comptait absolument pas me faire de mal et ne voyait aucune raison de m’en faire. Et puis Sam, il était visiblement bien trop pacifique pour faire du mal à n’importe quel être vivant. Je laissais se dessiner un sourire sur mon visage en entendant ces douces paroles et posais alternativement mon regard sur le brun et son chien, tous deux étant apparemment d’adorables personnages. « Bon bah d’accord, je veux bien rester ! » lançais-je enfin en haussant les épaules.

J’allais me relever pour m’installer plus confortablement dans un fauteuil ou sur le canapé, voire même sur une chaise, même si le sol n’était pas l’endroit le moins agréable du monde, il commençait à se faire dur. Mais mon hôte accapara mon attention sur autre chose, tendant sous mon nez ses deux mains. Dans l’une il tenait un verre rempli d’eau, en tout cas c’était un liquide translucide, et dans l’autre il y avait deux comprimés blancs, que je supposais être des antibiotiques pour je ne sais quel mal, ou pour prévenir d’un quelconque séjour la tête dans la cuvette. Je ne savais pas forcément si prendre des médicaments en ayant ingurgité une grande quantité d’alcool était la meilleure des choses à faire, mais j’avais en tous cas déjà connu bien pire. Et puis, peut-être que ma première idée d’être face à un meurtrier n’était pas si fausse et qu’il allait simplement me droguer pour que je reste tranquille. Sans même vraiment réfléchir, je le gratifiai d’un simple merci en prenant les pilules du bout des doigts, et le verre à pleine main. Mon regard le suivait pendant qu’il se levait pour se rendre dans la cuisine, quand je sentais les comprimés glisser de ma paume. En lâchant deux ou trois jurons, je cherchais les deux pilules sur le sol que je retrouvais sans mal, soufflant dessus en guise de nettoyage avant de les déposer dans mon gosier, les faisant passer avec un cul sec du rafraîchissement. C’était bien de l’eau, j’en avais maintenant la confirmation.

La bouche dorénavant moins pâteuse, je regardais Hippolyte revenir devant moi, un tissu imbibé dans les mains, qu’il ne tardait pas à déposer sur mon front. La fraîcheur et l’humidité vinrent rapidement faire un contraste avec la chaleur et la sueur de mon crâne. Lâchant un agréable soupir, je lui souriais en guise de remerciement quand il me demandait finalement quel était mon prénom. « Gaston. Je m’appelle Gaston. Et mon nom de famille importe peu, aucune renommée dans ma famille. » Je n’étais pas du genre à me venter d’être un Prévost, déjà parce que ça n’avait aucun intérêt, mais aussi parce que la vantardise autour d’un nom de famille, c’était loin d’être mon truc. « Et vous mon cher Hippo, vous faites quoi à part recueillir des gens bourrés chez vous ? »
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Sam 30 Sep - 7:28


       
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Hippo' et Gaston

       
Hippolyte ne pouvait s’empêcher de sourire tout simplement en voyant le jeune homme devant lui, laissant le moment qu’il lui faudrait pour s’adapter à sa présence et à celle de Sam. Néanmoins, il le détailla rapidement pendant ce temps pour ce faire une idée, un sourire calme et rassurant aux lèvres. Il y avait quelque chose de… rassurant qui ce dégageait de ce jeune homme. Pour en avoir souvent aidé, parfois, une personne ivre était… simple ivre. Et désagréable même. Il t’insultait, te critiquait, et envoyait tout balader. Mais ce jeune homme était, oui paniqué, mais c’était normal après avoir bu autant et sans doute consommer des choses un peu plus fort que ça. Mais malgré son air ivre, il restait gentil et même assez tranquille comparé à d’autres. Et Hippolyte pouvait sentir que le jeune homme fasse en lui n’était pas un mauvais homme : Au contraire, il ressentait en lui une certaine gentillesse qu’il ne pourrait expliquer en ce moment, mais il le sentait. Comme une intuition un peu. Hippolyte hocha doucement de la tête quand le jeune homme décida de rester. « Merci de me faire confiance… Je vais bien m’occuper de toi. », dit-il avec douceur, lui souriant sincèrement, alors que Sam aboyait doucement pour exprimer sa joie.

Hippo le laissa prendre doucement les deux comprimés et l’eau, soupirant doucement en se redressant lentement pour aller vers la cuisine. Au moins, le jeune avait encore assez de conscience pour boire l’eau. Il se sentit sourire, allant mouiller une serviette avant de revenir vers le jeune homme lentement, s’assoyant devant lui pour venir glisser la serviette très lentement sur son front, sur sa nuque, essayant de refroidir un peu la chaleur qui se dégageait du jeune homme. Hippo avait toujours adoré aidé les gens, trouvant dans ces actes une vraie sorte de… de bien être. Il se sentait vivant quand il aidait les autres, il se sentait utile. Rendre service, aidé, ça avait toujours été une de ces passions. « J’espère que tu ne pas tombé malade », souffla-t-il lentement, plus pour lui-même, les sourcils froncés par l’inquiétude. Il finit par retirer doucement sa serviette, souriant au jeune… Gaston donc. « Gaston. Ça me va. Je ne veux pas plus d’information que ça! » dit-il en souriant. Puis doucement, il passa ces bras autour de Gaston pour venir l’aidé à ce relever, l’aidant ainsi dans le mouvement à marcher vers le canapé où il le posa doucement. Tirant une chaise, il s’assit face au canapé, soit face à Gaston en souriant toujours. Il rigola aux paroles du jeune homme. « Je suis baby-sitter, en faite, habituellement. Je suis assistant maternel. Et je viens en aide à plusieurs organismes dans mon temps libre. », dit-il en souriant. « Et toi, Gaston, tu fais quelque chose en particulier? ». Hippolyte glissa à nouveau sa serviette humide sur le front de Gaston, continuant de s’occuper de lui avec douceur. Il gardait son sourire calme sur le visage, penchant la tête légèrement pour faire signe à Gaston qu’il l’écoutait.

       
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Ven 20 Oct - 11:45

La bonté est un vice comme les autresManifestement, l’homme était satisfait de ma décision de rester sous son toit, et le fait que je lui accorde ma confiance semblait aussi le rassurer. En même temps, je n’avais pas vraiment le choix dans mon état, c’était soit confier ma vie à un inconnu, soit risquer de la perdre en me laissant vagabonder pour décuver. Ceci dit, les deux solutions me ressemblaient mais se tourner vers la première n’était peut-être pas le plus mauvais choix à faire. Sam semblait tout aussi joyeux de me voir rester à ses côtés, sûrement avait-il pressenti le soulagement chez son maître et ainsi il lâcha un doux aboiement.

Hippolyte se levait et me laissait assis là, pour s’éclipser à nouveau quelques instants, pendant lesquels je passais mon index sur les pattes avant de Sam, pressant tout doucement le bout de celles-ci comme pour compter ses doigts. Langue pendante, il ne semblait pas vraiment dérangé, et me regardait faire sans trop de surprise. Mon hôte revint s’asseoir à mon flanc, dégageant les cheveux tombant sur mon front pour y déposer un linge mouillé, le faisant aussi passer dans ma nuque tout en me disant que Gaston était la seule information qu’il avait besoin de savoir. Pas besoin de nom de famille. Après quoi, il me laissa la serviette humide sur la nuque, tenue par mes épaules et il passa ses bras autour de moi pour m’aider à me relever en me guidant doucement et avec la plus grande attention vers son canapé, sur lequel il m’asseyait avec soin.

Je m’affaissais un peu plus une fois lâché, profitant ainsi du moelleux rembourrage sous mes fesses, bien plus agréable que le dur sol de sa maison. Hippo tirait une chaise pour la positionner juste en face de moi, sur laquelle il prit place, souriant. J’en profitais pour lui demander ce qu’il faisait de sa vie, ce qui lui fit échapper un petit rire qui lui allait bien. Il était donc baby-sitter, et il aidait plusieurs organismes. Un homme bon au final, et au grand cœur. Ma confiance était donc bien placée, et puis il n’avait pas vraiment l’air de raconter des mensonges. « En fait quand vous vous occupez des cas comme moi, c’est un peu comme si vous vous occupiez des bébés et des enfants que vous gardez habituellement non ? C’est pas indépendant, ça peut baver et vomir et c’est plutôt idiot. » Je riais à la suite de ma phrase, le portrait que je venais de dresser d’un enfant en bas-âge n’était sûrement pas le plus flatteur. Ceci dit, les gosses, ce n’était pas non plus vraiment mon truc. « D’ailleurs je vous rassure Hippo, je vais pas vomir. ’Fin, normalement je ne devrais pas, ça m’arrive rarement. » A la suite de quoi, je fronçais les sourcils et levais les yeux au ciel en levant mes doigts un par un, tentant d’énumérer mentalement toutes les cuites à la fin desquelles j’avais fini par recracher mes tripes. Mais j’arrêtais rapidement le décompte, j’avais un peu trop la flemme en ce moment même pour mener à bien cette mission. En me repassant la serviette sur le visage, et principalement sur mon front, mon baby-sitter me souriait et me retournais ma question, ce que je faisais de ma vie. « Bah vous savez, je survis en fait. J’ai un petit boulot dans une librairie toute pourrie en ville, et ça me permet de payer mon loyer, de quoi manger et quelques loisirs aussi. Rien de bien passionnant, mais je crois que les études, c’était pas mon truc de toute façon. » Ce que je préférais ne pas révéler, c’était que les loisirs auxquels je faisais allusion n’étaient autre que boire de l’alcool, ou prendre de la drogue où je pouvais en trouver. « Et puis de temps en temps je me retrouve chez des inconnus parce que je suis un peu trop saoul pour pouvoir m’occuper de moi tout seul. Mais bon, on n'est plus vraiment des inconnus maintenant hein ?» lâchais-je en riant, l’œil plein de malice.

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Dim 22 Oct - 7:57


       
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Hippo' et Gaston

       
Hippolyte fixa doucement son protéger pour la nuit, glissant lentement ces doigts dans les quelques mèches bouclés des cheveux du jeune homme. Il en avait déjà vu, des gens qui se droguait ou buvait à perdre les pédales, tout ça pour arrêter de penser ou de souffrir. Tout ça pour se donner au moins une raison de continuer à marcher, quand ta tête ne voulait plus. Oui, il en avait déjà vu des gens désespéré qui cherchaient refuge dans ces substances là. Et en ayant connu plusieurs, ils se demandaient de quels types était le jeune homme en face de là. Est-ce qu’il buvait pour oublier, ou pour fêter? Ou simplement car il n’avait rien de mieux à faire? Ou peut-être pour briser cette douleur en lui? Hippo’ l’ignorait, et il n’allait pas poser la question, car cela ne le concernait pas. Il écoutait, si la personne voulait parler, mais il n’obligeait jamais quelqu’un à se confier. Car, malgré tout la générosité dont on pouvait éprouvé en étant quelqu’un comme Hippo, malgré son désir d’aider tout le monde, sans que la personne le veuille, c’était perdu d’avance et ça, Hippo l’avait bien comprit. Mais il pouvait néanmoins leur apporté un toit, des bras chauds où pleurait et, s’ils le désirent, des oreilles pour les écouté et des conseils à donner. Hippolyte serait toujours là, parce que aider les autres, c’était un peu ce qui l’aidait, lui, à tenir debout.

Il aida donc le jeune homme à se lever du sol dur pour aller le porté sur le canapé, le laissant avec douceur tombé dessus, alors que Sam se redressait rapidement sur ses pattes pour s’avancer et venir s’assoir à côté de son maitre, posant ses pattes sur le canapé, au côté de Gaston. Hippolyte fixa son chien avec douceur, avant de rire doucement, lui caressant la tête, entre les oreilles. Dans ces moments-là, où il pouvait se rendre utile, il oubliait sa propre douleur. En ce moment, il se sentait simplement bien, vraiment bien.

Le jeune homme rigola joyeusement aux paroles de Gaston, baissant la tête en laissant son rire se propageait dans la pièce, doucement. Il secoua la tête avec amusement, se laissant tombé sur la chaise devant Gaston. « C’est un peu ça, ouaip! Mais je compte sur toi pour me prévenir si t’es pour vomir, je t’en pris, j’ai déjà dû me faire un lavage aujourd’hui! », dit Hippolyte en éclatant de rire. « Mais tu sais, ça me dérange pas de m’occuper de gens qui ont besoin d’aide. Au contraire, j’adore ça. Alors ça m’arrange, moi! », dit-il avec un énorme sourire, avant d’éclater de rire en glissant sa main dans les cheveux de Gaston pour les replacer. « Au moins, c’est ça… Si tu ne vomis pas, ça serra déjà ça de gagner.»

Hippolyte continua de s’occuper du jeune homme, glissant la serviette humide sur son visage et sa nuque avec attention. « Oh tu sais, selon moi, c’est plutôt cool les librairies! J’adore les livres, je trouve que c’est toujours passionnant des lires. Et il faut bien des gens comme toi pour nous conseiller! Alors si tu aimes ça, c’est tant mieux. Pas besoin de grandes études, tant que tu te plaies dans ce que tu fais. » , dit doucement Hippo’ avec sincérité. Le jeune homme leva les yeux, surpris, vers l’homme en face de lui à son commentaire. Il plissa des sourcils, avant d’éclater de rire joyeusement. « Non, on est plus des inconnus du coup! La prochaine fois, tu seras déjà chez qui sonner! Enfin… En espérant que tu te rappels d’où j’habite. » Un léger moment de silence. « Nah, je te donnerais mon numéro de téléphone, ça va être plus simple pour m’appeler au cas où que tu es encore paumé. » Il lui adressa un clin d’œil amusé. « Je vais toujours être heureux à te porter secours! »


       
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Dim 5 Nov - 19:41

La bonté est un vice comme les autresJe pense que je n’aurai pas vraiment pu tomber mieux. Hippolyte était vraiment attentionné, aux petits soins, et visiblement il adorait faire ce qu’il faisait. S’occuper de personnes dans le besoin, qui nécessitent de l’aide. Pourquoi pas après tout, sûrement le fait de voir un sourire se former sur le visage d’autrui permet d’en dessiner un sur son propre visage. Ce n’était pas quelque chose pour moi en tous cas, le social c’est pas vraiment mon domaine après tout. Commencer par régler mes problèmes serait déjà un bon début, avant de pouvoir m’occuper de ceux des autres. En revanche j’avais le meilleur profil de l’emploi pour celui qui a besoin d’aide, bien que je n’en demandais pas vraiment. Ce n’était pas la première fois que je finissais complètement saoul dans la rue, et sûrement pas la dernière. En revanche peut-être que quelqu’un d’autre aurait eu davantage besoin de la présence et des soins d’Hippolyte plutôt que moi. Qu’importe j’avais dans tous les cas pris sa place, et mon hôte n’allait pas repartir en quête d’un autre fardeau.

Continuant à me tamponner de sa serviette humide, je regardais Sam à mes côtés, pattes avant posées sur le canapé et sa tête se reposant sur celles-ci, pendant que j’écoutais son maître me parler de lecture. La lecture avait beau être quelque chose qui pouvait être intéressant, regarder des bouquins pourrir toute la journée n’avait rien de bien passionnant. Mais je préférais garder ça pour moi, je faisais ce boulot juste pour m’assurer une entrée d’argent, pas pour le plaisir qu’il me procurait. Je me contentais seulement de hocher la tête en la relevant vers le visage d’Hippolyte, pendant qu’il replacer quelques-unes de mes mèches correctement. Ce n’était pas la première fois de la soirée qu’il passait tendrement sa main dans mes bouclettes, essayait-il de me draguer ? Ou bien je me faisais des idées, tout simplement, il voulait juste que je n’ai pas l’air trop idiot avec des cheveux en bataille.

Dans tous les cas, le brun pointait le doigt sur un point plutôt important. Certes nous n’étions plus des inconnus mais je pouvais aussi repasser quand bon me semblait. Or, je ne savais pas du tout où je pouvais actuellement me trouver, je ne me souvenais aucunement du trajet effectué pour venir m’abriter ici, et je ne saurais même pas dire où Hippolyte m’avait trouvé. Un peu comme si ce dernier savait lire dans mes pensées, il me proposa plutôt de me faire part de son numéro de téléphone au cas où je serai perdu à nouveau, pour qu’il puisse à nouveau prendre plaisir à s’occuper de mon cas. M’affalant à moitié sur le canapé en glissant ma main avec difficulté dans ma poche de jean, je retirais mon téléphone portable en le tendant au baby-sitter. « Tiens Hippo, je te laisse noter tout ça, je crois que je ne suis pas en état de le faire proprement. » Pour la première fois de la soirée, en le regardant pianoter sur le clavier de mon téléphone, je me demandais s’il n’était pas juste très poli et qu’au fond, je dérangeais. « Tu sais, si t’as une voiture, ou même à pied après tout, et si tu me dis où on est je peux très bien t’indiquer où j’habite, et je t’envoie un texto quand je suis arrivé… Si ça se trouve t’avais des trucs prévus, t’allais peut-être ramener une conquête ce soir, et j’ai foutu ça à l’eau. » Je baissais les yeux vers le chien qui ne bougeait pas d’un pouce, et plongeais mon regard dans le sien, qui semblait empathique, à la manière des canidés.
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Sam 18 Nov - 3:48


       
La sécurité devrait être donné à tous

Hippo' et Gaston

       
Hippolyte avait toujours été ainsi, de ce qu’il se souvient de sa jeunesse : Aidé les autres l’avait toujours aidé, lui-même, à oublier ses propres problèmes et à se dessiner un sourire sur le visage. Incapable de gérer sa propre vie et ces problèmes, il s’était tourné vers quelque chose de plus simple à ses yeux et pour lui : Aidé les autres à pouvoir s’ouvrir sur leur plein potentiel et qu’il finisse par être fier des améliorations qu’ils ont fait. Ces derniers temps, il participe beaucoup en tant qu’animateur à des rencontres avec un groupe d’entraide. C’est un groupe de soutient pour les gens atteint de dépression ou souffrant, présentement, d’une période de dépression. C’est un groupe que Hippolyte aime particulièrement, car ce groupe lui fait oublié ces propres problèmes de dépression pour ce concentrer pleinement sur les leurs. Et c’est un groupe très ouvert, qui veut vraiment s’en sortir. Hippo adore aller animer là-bas. Il se sent bien, et entouré. Ce serait peut-être un groupe qui pourrait aidé Gaston. Car, après tout, il y avait aussi des alcooliques ou ancien alcooliques qui venaient aussi. Il pourrait toujours lui proposer, surtout si ça lui donnait une deuxième raison de se revoir. Car Hippo savait très bien que ces gens qui trouvait refuge dans l’alcool était dans ceux qu’il fallait le moins laissé seul : Une overdose était si vite arrivé. Hippo avait déjà dû appeler l’urgence pour des overdose et chaque fois, son cœur avait semblé cessé de battre, tellement que le temps était compté. S’il pouvait éviter que Gaston en fasse une – même s’il ne connaissait pas tout son parcours -, il sentirait déjà qu’il avait fait quelque chose de bien. Surtout que Gaston semblait d’être de ce genre de jeune homme attentionné, sous cet air alcoolique. Et puis, il semblait tellement gentil juste à lui parler présentement.

Prenant le portable du jeune homme, Hippo lui sourit pour le rassurer, murmurant qu’il s’en occupait, avant de baisser la tête lentement pour écrire son numéro de téléphone, son adresse et son nom. Il marqua Hippo et entre parenthèse il indiqua « Ton sauveur », avec un rire amusé. Il lui redonna son portable par la suite, lui ébouriffant les cheveux au passage, avant de fixer Sam, qui se redressa en voyant son maitre le regardait, les oreilles dressés. « C’est un peu un chien d’aide, Sam. Il sait quand quelqu’un va mal, ou quand il doit surveiller l’état physique de quelqu’un. Il est très intelligent pour savoir comment protéger quelqu’un et comprendre s’il va ou ne vas pas bien. », dit Hippo doucement en venant frotter la tête de son chien, soupirant avec douceur. Il se redressa en fixant Gaston, secouant la tête. « Je n’avais rien de prévu, je te rassure tout de suite. Je suis du genre à rester chez moi tranquille, le soir. Je n’aime pas trop sortir. », dit-il doucement. « Tu peux rester ici, je t’assure. »

Il se leva lentement, allant chercher quelque chose à manger de léger dans la cuisine, reprenant aussi de l’eau dans le verre, avant de revenir vers Gaston. Il donna doucement le verre d’eau à Gaston en souriant, s’assoyant à nouveau à ses côtés. « Donc dis moi… Ta soirée? Tu as été dans un bar pour te retrouver dans cet état? », demanda-t-il curieux. « Dit le moi si je suis trop curieux. J’adore apprendre sur les autres. » dit-il avec sincérité, croisant les jambes en se penchant un peu vers lui, souriant.



       
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Lun 20 Nov - 8:24

La bonté est un vice comme les autresEn enfonçant mon portable dans ma poche, malgré un peu de mal, j'écoutais Hippolyte me parler du comportement de Sam. Ce chien semblait vraiment adorable et à dire vrai, je ne doutais pas qu'il l'était, rien qu'en observant sa tête et en comparant celle-ci aux paroles de son maître. Je ne connaissais pas vraiment les chiens, je n’en avais jamais eu, ni seul ou même avec mes parents, mais c’était un animal et un compagnon que j’aimais particulièrement. Ils avaient l’air de comprendre les humains, d’avoir de l’empathie pour eux, et certaines races étaient même réputées pour ça, et pour la protection qu’ils apportent instinctivement à l’humain, le plus souvent aux enfants. Après quelques caresses, je relevais mon regard pour croiser celui d’Hippolyte qui m’assurait qu’il n’avait vraiment rien de prévu pour ce soir, qu’il était plutôt casanier en soirée et me permettait donc de passer la nuit ici, sans que ça puisse le gêner de quelque manière que ce soit. Je lui souriais en guise de remerciement, sincère.

Mon hôte se levait pour vaquer à quelques occupations, me reprenant le verre des mains. La fatigue due à mon état d’ébriété commençait doucement à se faire sentir. Balançant ma tête en arrière, mon crâne s’enfonçant dans le tissu moelleux du canapé, je regardais le plafond s’agiter sous mes yeux tantôt tremblant, tantôt se distordant à la manière de vagues. Je fermais les yeux rapidement pour éviter toute envie nauséeuse tout en redressant ma nuque pour me tenir droit avant d’ouvrir à nouveau les paupières, et je retrouvais Hippolyte face à moi presqu’aussitôt partit, sans même savoir combien de temps s’était écoulé. Pas bien longtemps probablement, mais ma notion du temps était vraiment floue, en un clignement de paupières, il n’avait pas pu remplir le verre d’eau qu’il me tendait et chercher quelques biscuits dont le paquet reposait sur la table basse à ses côtés.

Après tout, qu’importe ? Je n’ai pas vraiment besoin de repère temporel en sachant que je suis entre de bonnes mains, et il a l’air d’avoir assez vécu d’expériences d’alcoolémie pour savoir que le corps prend souvent le dessus sur la raison. Je trempais mes lèvres dans le verre d’eau avant d’en prendre une lapée, avant qu’il me demande si j’avais passé la soirée dans un bar pour finir dans un état tel que le mien, me permettant de le reprendre sur sa curiosité. Je ne pouvais pas lui en vouloir sur ça, la curiosité fait souvent partie de tout le monde. Et puis après m’avoir aidé comme il l’a fait, je pouvais bien lui en dire un peu plus sur moi, sans forcément entrer dans les détails et en modelant un peu mon histoire. Quelques mensonges valent mieux qu’une terrible vérité. « J’ai pas l’argent nécessaire pour me mettre dans cet état dans un bar. Ou alors faut qu’on me paye les coups. Franchement c’est du vol les prix, tu trouves pas ? » lançais-je d’un air outré. Et puis en soi, mon bar est partout, aussi bien chez moi que dans la rue, seul ou accompagné, à n’importe quel moment de la journée. Mais était-il nécessaire qu’Hippolyte apprenne vraiment tout ça ? « Il y avait l’anniversaire d’un type ce soir, et j’ai voulu fêté ça dignement, c’est tout. Ca arrive à tout le monde non ? » lui demandais-je avec des yeux de chien battu. Au final il n’y avait rien de digne là-dedans, mais je n’avais pas vraiment menti. Quelque part dans le monde, dans Wellington même probablement, c’était l’anniversaire de quelqu’un, et il aurait souhaité qu’on boive à sa santé. « Mais si tu veux un soir on se fait un petit truc ensemble toi et moi, s’il y a moyen de boire un petit coup je suis partant ! »

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Mar 12 Déc - 7:47


       
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Hippo' et Gaston

       
Hippolyte était installé devant Gaston, souriant avec douceur, les coudes posés sur ses genoux en gardant toujours un contact visuel avec l’homme. Ayant souvent dû aidé des alcooliques dans un organisme où il est bénévole, Hippolyte s’est reconnaitre les signes d’une overdose ou de voir si une personne va tombé évanouit. Garder un contact visuel avec la personne fait en sorte de pouvoir mieux voir les premiers signes d’une certaine overdose ou quoique ce soit lié aux effets de la drogue. La majorité des premiers signes peut se lire dans le visage de la personne ou, sinon, dans l’agitation de son corps. Mais le corps de Gaston repose avec douceur sur le matelas, il a même l’air sur le point de s’endormir parfois, donc Hippolyte préfère surveiller son regard. Il ne veut pas tout de suite le laisser dormir, par peur qu’il aille envie de vomir ou quoique ce soit. Mais lentement, il voit que Gaston reprend un peu sur lui. Et vu qu’il a bu de l’eau, cela va évité les maux de tête (enfin… un peu) et cela va faire en sorte que le jeune homme ne se déshydrate pas au milieu de la nuit. Posant son menton sur ses mains jointes sous son menton, il lui sourit calmement, le regardant et parlant avec lui avec simplicité. Parfois, ça lui manque une telle simplicité dans sa vie. Avec cet homme, il sent que tout peut être simple et qu’il n’a pas besoin de se forcer à parler d’un sujet x. Il parle, sans prise de tête, avec des rires sincères et doux.

Hippolyte a toujours adoré prendre soins des autres, donc c’est d’un naturel peut-être déconcertant pour certain que Hippolyte s’occupe de Gaston, lui donnant de l’eau, refroidissant son front, avant de continuer à soulager sa peine (physique) du mieux qu’il peut. Le jeune homme n’a jamais été du genre non plus à juger quelqu’un sans connaitre son histoire, ses fondements, et ce qui l’a amené à vivre ainsi. Hippolyte est du genre à voir les personnes d’une façon positif, en général, bien qu’une certaine partie de lui pensent que la majorité des humains sont des êtres qui se soucient peu de bien-être des autres, il n’est pas du genre à juger un alcoolique, par exemple. Si la personne boit, il doit y avoir une ou même plusieurs raisons derrière ça. Et cela ne le concerne pas, et il le sait. Il est curieux, donc il demande, mais il ne serra pas offusqué si la personne ne veut pas répondre.

Mais Hippolyte fut surpris d’entendre Gaston lui répondre et un sourire apparu sur ses lèvres avec douceur, avant qu’il ne rit joyeusement, hochant la tête en direction de Gaston. « Je ne bois que rarement, mais ma sœur travail dans un bar, donc je ne peux qu’être d’accord avec toi. Ça coute beaucoup trop cher! » dit sincèrement le jeune Amory en souriant. « Oh je comprend, alors. Oui , un anniversaire ça se fête! » Hippolyte sait que Gaston ment, d’une certain façon. S’il lui en veut? Non, aucunement. Il sourit avec douceur, hochant la tête. Gaston boit pour oublier. Ça se confirme par la suite. Gaston l’invite à faire quelque chose avec lui, s’il y a quelque chose à boire. Il boit pour des raisons précises, pas pour fêter, mais Hippo ne vas pas rentrer dans les détails, pas ce soir du moins. « Je voie, j’y penserais alors, Gaston pour une prochaine rencontre! »

Finalement, Hippolyte aida Gaston à se coucher dans le canapé, installant un oreiller derrière sa tête, puis le couvrant d’une couverture. Il veilla sur lui jusqu’à ce que Gaston soit endormit, puis il se leva, allant éteindre les lumières, Sam sur ses talons.

Le lendemain matin, Hippolyte se réveilla vers 9h du matin, descendant en bas pour aller préparé le café et un petit déjeuner rapide, le temps que son ami se réveil de sa nuit agité. Sam va rapidement rejoindre Gaston dans le salon, Hippo le suivant du regard en souriant, attendant le réveil de ce dernier. Quand il voit Gaston arrivé dans la cuisine, escorté par Sam, Hippolyte se redressa en souriant: « Bon matin Gaston! Comment tu te sens? »
       
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Jeu 11 Jan - 11:18

La bonté est un vice comme les autresMa tête dodelinait pendant que mon bon samaritain me répondait. Pendant que mes paupières se fermaient pour subitement s’ouvrir à nouveau, il me semblait l’entendre parler du fait qu’il n’était pas grand buveur mais qu’il était bien d’accord pour que l’on se rencontre à nouveau autour d’un verre. La fatigue qui m’envahissait soudainement ne fut pas des plus discrètes, puisque les mains d’Hippolyte finirent rapidement dans mon dos et sur mes épaules pour me guider tendrement lorsqu’il m’allongeait sur son canapé. Déliant mes cils pour observer le plafond, celui-ci tanguait. Les effets de l’alcool une fois allongé n’aidaient en rien à faire passer le mal de cœur, mais en général il fallait s’accommoder, passer outre et s’endormir en pensant être dans une cabine de bateau en haute mer. Une croisière pour le prix de quelques bouteilles, ce n’est pas si mal niveau rentabilité au final. Je souriais à cette pensée pendant que mon hôte me soulevait la tête pour déposer juste en dessous un oreiller moelleux et des plus confortables. Les paupières closes, je sentais les bras de Morphée m’envelopper des pieds jusqu’au cou, ou alors était-ce simplement une couverture légère que déposait Hippolyte sur mon corps inerte ? Qu’importait, je partais pour voyager au travers d’une mer quelque peu agitée, en direction du pays des rêves.

La nuit fut courte. Trop courte. Un réveil en sursaut en sentant contre mon cou une texture un peu humide et fraîche. C’était la truffe de Sam, qui avait posé sa tête dans le creux de mon épaule comme une mère qui veille son enfant malade. Les paupières lourdes et la bouche pâteuse, je m’étirais longuement avant de caresser le canidé avec vigueur et d’entendre un peu de bruit non loin derrière moi. Je me levais pour voir Hippolyte affairé dans la cuisine. Le malaise commençait à se sentir de mon côté. Déviant le regard pour éviter de croiser celui de mon hôte, la politesse m’obligeait tout de même à le saluer et le remercier. Un sourire maladroit sur les lèvres, je lui réponds en frottant ma main entre mes bouclettes. « Ca va, ça va, merci. Je… Je suis désolé pour hier soir, je voulais te remercier, c’était vraiment très gentil de ta part. Mais je ne vais pas pouvoir rester, j’ai des obligations professionnelles si je veux pouvoir continuer à payer mon loyer ! » Un petit rire nerveux s’échappa de ma bouche. Marchant doucement à reculons, je levais la main en guise de salut. « Je devrais trouver la sortie tout seul… Merci beaucoup, vraiment. Bonne journée ! » Je me retournais et trottais vers la porte d’entrée pour quitter cette situation dans laquelle le malaise aurait été plus présent que n’importe quel autre sentiment. Sur le chemin de la librairie, je tentais de recoller les fragments de souvenirs vagues que j’avais. Hippolyte était adorable. Réellement.

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